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Taille de positions des ordres sur B.M
Sur certains comptes B.M on n’est pas, toujours, aux normes du marché boursier.
C’est un problème que j’avais soulevé, le 12 écoulé, mais certainement mal expliqué puisque les réactions de Thomas et de Bigcaps avaient été de confirmer l’exactitude et le bon déroulement du volume des transactions.
Je vais essayé de reprendre un sujet déjà abordé, j’espère de manière plus explicite.
Le problème ne se pose pas sur les volumes exécutés mais sur la taille des ordres envoyés sur le marché.
Je voudrais être clair sur la nature de mon exposé.
Il ne s’agit pas d’une fixation sur les transactions effectuées par BIGCAPS ou d'autres comptes de divers membres, mais d'ordres avec des tailles de positions ne respectant pas les normes moyennes qui apparaissent sur les carnets d’ordres au réel.
Prenons, en exemple, 3 ordres de vente de BIGCAPS du 19/01 sur RENAULT exécutés à 90.09.
Ces ordres sont :
- Un de 60.000 euros soit (arrondi) 666 actions
- Un de 60.000 euros soit (arrondi) 666 actions
- Un de 54600 euros soit (arrondi) 606 actions
Si on suit le carnet d’ordres boursier on s’aperçoit que la taille moyenne des ordres pour RENAULT était de +ou- 180 –sur une échelle de 10 cotations-
Au réel la présentation sur le carnet d’ordres de 3 ordres, passés simultanément au même moment, ferait apparaître un volume de 1938 actions à 90,09. Ce qui provoquerait un tassement des cours voir un léger déclin. Cela déréglerait le marché.
Cette situation est pire quand il s'agit d'ordres sur des actions, autres que des blue chips, présentant peu de volumes d'échanges.
Au réel, les ordres importants, passés par les grosses mains, sont PRESQUE TOUJOURS scindés. (Exception étant faite pour le THF {Trading de Haute Fréquence} –mais ce n’est pas la vocation de Boursematch- ou les ordres en bloc des institutionnels, lesquels rentrent dans le système de ‘post-trading’–ce qui n’est pas, non plus, dans la vocation de Boursematch- )
La conséquence directe c’est que les ordres à tailles importantes –voire excessives- passés sur B.M ne devraient pas être passés en l’état sur le marché virtuel et devraient être scindés.
Ce qui, ipso facto, alourdirait les frais de courtage (la comparaison avec les frais du broker partenaire n’est, dans ce cas, plus conforme).
Je formule cette anomalie puisque B.M aurait la vocation d’être, aussi, un logiciel de simulation qui voudrait coller à la réalité du marché boursier.
C'est une logique pour ceux qui opèrent en conformité avec une simulation boursière réaliste ……et qui sont, alors, crédibles dans leurs performances !
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